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MaFcA

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13 février 2009

un site qui donne faim

Eh oui une fois n'est pas coutume je vais faire de la publicité pour un site qui donne envie de .... manger. Simplement manger. Vous savez, tenir une fourchette, un couteau et ... se régaler.
Ainsi par les hasards de clique à n'en plus finir de site en site je suis tombé ici B comme bon
Juste des images :

verrine_1

Vous ne trouvez pas que cela donne envie de se lancer dans la préparation de bonnes petites choses.
et celle-la ?

verrine_2





















Si vous vous sentez l'âme d'un chef sans en avoir nécessairement les compétences, essayer juste pour voir, tout cela a l'air divin et pas particulièrement compliqué.

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12 février 2009

une pub bien sympa

28 octobre 2008

ode

poitrine

 T’ai-je déjà parlé de tes seins ? je pense que oui. Pas grave, je vais le faire encore Je les adore, les aime, les vénère. Pourquoi ? Je ne sais pas et ne veux pas savoir. Et puis peu importe. Les fait est là : j’aime tes seins.

J’aime les tenir dans mes mains, masse douce et chaude au creux de ma paume. Doux. Oui très doux même. D’accord ils ont changé, plus lourd qu’à nos vingt ans mais toujours aussi beau, aussi désirable. Si tu savais comme il m’est difficile de ne pas me jeter dessus quand tu les montres que ce soit pour prendre une douche ou bien te changer avant d’aller au lit. Et puis ils sont chez toi un important organe de plaisir, pour le mien, le tien. Jouer avec la langue sur leur pointe, ou bien les saisir entre mes doigts, les sentir dur entre mes lèvres, inflexible à ma langue.

tt2

(http://forum.doctissimo.fr/doctissimo/Exhibition-voyeurs/fesses-seins-pensez-sujet_527_1.htm)
 

En écrivant ces mots me viennent des images. Un jour que nous faisions l’amour, toi sur moi (que j’aime cette position) je te pris les mains et délicatement les posai sur ta poitrine. D’abord timide tu coinçais les pointes entre les pouces et index et les caressa quelques secondes. Puis t’enhardissant tu les attrapas sans retenu, les faisant rouler, les tirant, les étirant. Et chaque mouvement de tes mains s’accompagnait d’un mouvement de tes reins. Symbiose de ton plaisir qui à ce moment là (je le compris comme tel) était égoïste. Yeux fermés, bouche entrouverte laissant échapper ton plaisir tu étais merveilleuse à regarder ? Je suis comme cela, voyeur qui te voudrait par moment être impudique. Et je pourrai parler ainsi de ton minou, de tes fesses, ton ventre, tes cuisses, ton cou, tes lèvres. Ah …. Tes lèvres …

24 octobre 2008

psycho 3

canape19


- Bonjour docteur.

- Bonjour comment allez-vous ? Enchanté de faire votre connaissance. Prenez place.

- Merci. Je suis quelque peu troublée car je ne viens pas pour moi mais pour Paupaul et son colocataire. Ils sont venus en consultation hier.

- Le secret professionnel m'empêche de faire toute allusion de mes patients à un autre.

- Bien entendu. Mais je pense que je peux vous aider.

- Excusez-moi, chère demoiselle mais c'est moi qui suis censé aider et non vous. (sourire)

- Oh bien entendu. Sans remettre en question votre capacité dans votre domaine, je pense sincèrement être plus apte à vous donner la clé de leur désarroi qu'ils ne le sont eux mêmes. Voyez-vous, ils sont assez brouillons lorsqu'il s'agit de Paulette et de sa colocataire.

- .... (un silence presque embarrassant emplit la pièce)

- Voilà, je saute à l'eau. L'histoire entre Paulette, sa coloc, Paupaul et son coloc est assez simple et en même temps tellement complexe par la faute du coloc.

- de Paulette ?

- Non de Paupaul voyons. Je sens que cela ne va pas être de tout repos !

- Continuez

- Le coloc de Paupaul est quelque peu étrange.

- Ah oui ?

- Il a du mal à montrer ses intentions et semble se braquer si les choses ne se passent comme prévu et me demandez pas de quel sens il s'agit, je crois qu'il n'en sait rien lui-même.

- Qui ne va pas dans le sens de qui ?

- Deux secondes. Je vais vous donner un exemple de son côté brouillon. Un jour, les 4 intéressés se retrouvent dans l'ascenseur tous seuls. D'habitude bien que Paupaul soit plus démonstratif que son colocataire, ce jour-là les deux étaient en symbiose. Et sans crier gare, la bouche du coloc de Paupaul s'est retrouvé sur la bouche de la colocatrice de Paulette.

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- Et cela fut-il désagréable ?

- Non pas du tout. Bien au contraire.

- Alors où était donc le problème ?

- Arrivés à l'extérieur la bouche de la colocatrice était toujours en demande et était certaine d'être prise captive à nouveau par celle du coloc de Paupaul. Rien.

- C'est-à-dire ?

- Plus aucun assaut de la part du coloc. Vous pensez bien que la bouche ait été troublée, déçue et quelque peu agacée de ce ... enfin, vous voyez ce que je veux dire.

- Pour être francs, j'ai un peu de mal à suivre.

- Eux aussi. Enfin passons. La bouche, Paulette et sa coloc auraient pu lui en tenir rigueur mais pas du tout. Le lendemain, elles ont recommencé à séduire Paupaul et son colocataire. Voyez qu'elles ne sont pas rancunières.

- C'est le moindre que l'on puisse dire.

- Figurez-vous que Paupaul et son coloc le sont eux. Enfin, je crois. Ils s'étaient donné rendez-vous tous les 4 mais cela n'a pas pu avoir lieu.

- Qui a décommandé ?

- Personne en réalité. Elles s'étaient trompées sur l'heure de leur départ en vacances et partaient très tôt le matin.

- Effectivement, ce n'est pas poser un lapin ça.

- C'est comme cela qu'ils vous l'ont décrit ? Je sais vous ne parlez pas des autres patients. Quoiqu'il en soit depuis, Paupaul et son coloc sont d'humeur assez changeante et même quelquefois ennervante. Par exemple...

- Désolé mais nous avons déjà dépassé de 2 minutes. Nous nous verrons la semaine prochaine. Cela fait 70 euros.

-C'est cher pour aider ces deux maladroits dis donc !

16 octobre 2008

psycho 2

humour

- Bonjour docteur.
- Bonjour, comment allez-vous ?
- Pfffu … Si vous saviez.
- Je ne sais pas mais c'est pour cela que vous êtes ici, pour me raconter.
- J'ai à nouveau croisé Paulette. Et c'était ….
- Oui ? c'était comment ?
- Fabuleux. Je n'ai pas eu l'impression de traverser de bois, j'ai mis quelques instants à la trouver mais quand ce fut fait. Ouahououououuuu !

1180716975_the_mask

- A ce point là ?
- En fait ce n'est pas tant Paulette, elle a l'air très agréable au toucher mais il faudrait voir plus avant, que sa colocataire, à moins que ce ne soit la propriétaire je ne sais plus. Elle pousse de ses soupirs. On dirait qu'elle veut alerter ses coburalistes.
- Elle tient un débit de tabac ?
- Non elle travaille dans un bureau.
- Paulette travaille dans un bureau et sa coloc/propriétaire vent du tabac ?
- Vous le faites exprès docteur, vous ne comprenez rien.
- Oui je fais exprès, je vous taquine. Je suis d'humeur aujourd'hui.
- Ah ben vous avez de la chance parce que moi …
- Vous ?
- Et bien elle m'a posé un lapin.
- Paulette ?
- Oui. Non. Vous m'embrouillez à la fin. Paulette et sa coloc. Du coup Popaul est en berne.
- Popaul ?
- Oui vous savez mon coloc qui prend ses aises. Surtout devant elle.
- Devant Paulette ?
- Non. Il ne l'a jamais vu.
Ca a failli arriver. Mais il est timide le garçon. Et puis parfois tellement pressé.
- Oh il est comme nous tous, il court après le temps
- Non il court après le plaisir. Et des fois sans prévenir, comme ça il se lache, alors je lui en veux.
- Donc ils ont failli se rencontrer ?
- Et puis sa coloc à fait faux bond.
- Sa coloc ? La coloc de la coloc de Paulette ?
- Non la coloc de Paulette. Vous pourriez faire un effort  tout de même.
- Excusez-moi. Bien poursuivez, je suis tout ouïe.
- Donc je disais qu'elle m'a fait faux bond.
- Oui j'avais noté. Et votre ami à pris cela comment ?
- Désappointé. Terriblement désappointé. Et puis …. Rassuré aussi.
- Comment ça ?
- Si jamais il court et s'essouffle avant d'être arrivé. Paulette ne va pas être contente, sa coloc furax. Elle a menacé de me tuer.
- Tant que ça ? Je suis sur que c'était figuratif.
- …
- N'est-ce pas ?
- …
- Et pourquoi cette rencontre n'a pas eu lieu ? Ah c'est terminé. 70 €, oui je sais les tarifs ont augmenté mais une amie m'a dit que je n'étais pas assez cher. A la semaine prochaine donc, même jour, même heure.

 

 

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9 octobre 2008

perdu ? retrouvé ?

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A.N., A.B., V.A.

Quels points communs entre toutes ces lettres ? Ah bon ! Vous ne voyez pas ! Allez je vous aide, le A vous le trouverez ici. Pour le N, reportez-vous deux textes plus bas et pour le V, et bien un peu d’imagination que diable.

Mais par contre ou moi je vais ? Je ne sais plus. Moi l’homme parfait, 34 ans, gentil, solitaire, qui repasse-cuisine-fait le ménage-s’occupe des enfants, en couple depuis 15 ans je pète aux coutures. J’éclate, je me dilate et y prends plaisir. Et la culpabilité ? Pour le moment non. Peut être un jour. Et si elle vient elle me bouffera, me dévorera mais cela fait trop longtemps que la vie s’est empêtrée dans une routine qui ne veut pas bouger. Il faut dire aussi que nous ne faisons pas grand-chose pour cela. Mais là je ne sais pas. Des occasions à saisir ? Oui ! Mais il y en a déjà eu et je ne les ai pas prises. L’envie de séduire, de plaire ? Non je ne crois pas même s’il faut bien avouer que c’est sympa de se savoir désirer. Si j’y pense et bien … Je n’y pense pas. Manière tout à fait indélicate de ne pas se présenter le problème, je le conçois, le reconnait mais c’est trop. Je suis d’un naturel timide, anxieux et j’ai pris l’habitude d’affronter ce qui me fait peur. C’est certainement pour cela que la hot-line me va bien. Chaque appel est un défi, au moins les premiers temps dans une nouvelle boite. Et puis les gens finissent par avoir en ce gentil dilom à la voix si douce, qui les aide, qui est si gentil. Alors ensuite c’est plus simple. Une fois que la confiance est installée tout va bien. Et puis survient l’A.N. Drôle, sans retenue, expansive au possible avec un rire qui fait venir le soleil. Elle écrit, moi aussi. Nous échangeons nos écrits, commentons, critiquons et le temps passe. La critique est bonne, les textes de plus en plus personnels. Et puis elle joue, elle aime jouer. S’amusant sans méchanceté de mes maladresses, de mes hésitations. Et les barrières tombent, mes barrières. Je ne sais plus. J’éclate, la vie me fait éclater. Et c’est bon.

9 octobre 2008

Réponse

Tete_Head1Madame,

Tout d'abord je tiens à vous remercier pour ce beau moment que vous m'avez permis de vivre en ce début d'après-midi. Cela m'a permis un temps de sortir de ma léthargie et de prendre un peu de vie, même si je me sentai dans l'instant quelque peu à l'étroit. Heureusement que mon compagnon a eu la bonne idée de me faire prendre l'air pour que je puisse m'étendre plus à mon aise.
Et madame, cette Elle dont vous parler est effectivement fort agréable, à regarder, à contenter. Mais que voulez-vous, je suis un aventurier moi, contrairement à lui. Et la découverte de nouveaux horizons, gravir de nouvelles montagnes, pénétrer des forêts que je suppose ne plus être vierge, m'enfoncer dans des grottes humides, parcourir d'adorables vallées, rien de tout cela ne me fait peur.
Mais hélas je suis très attaché à lui, lié à la vie pourrai-je même dire.

Par contre je me vois dans l'obligation de vous contredire. Contrairement à mon voisin du dessus qui se prend pour le cerveau, vous êtes la seule à avoir su m'éveiller en pleine journée et loin d'Elle. Et oui j'ose le dire encore, vous m'avez envouté, charmé. Et encore je suis sur que si jamais votre main s'aventurait à me rencontrer j'en pleurerai de joie. Et je n'ose penser à ma réaction si, dans un élan de générosité, vous déposiez un baiser sur ma personne.

J'espère Madame que vous saurez pardonner ma maladresse mais les mots m'échappent à flots et j'ai quelques difficultés à les maitriser.

Votre dévoué.

7 octobre 2008

premier courrier

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Cher Monsieur,

Je vous ai prévenu que j'allais me venger. Alors, je continue. Utilisons votre imagination!

J'ai ouïe dire que vous étiez assez indiscipliné et que votre compagnon n'a plus aucun control sur vous. Mais ce n'est pas sérieux. Vous montez pour je ne sais quelle raison et vous lui faites voir des misères à ce pauvre Frédéric et ce, même au travail avec d'autres que sa bien aimée. Une petite sonnerie de téléphone et une voix féminine et vous êtes parti pour une nouvelle montée. Ce petit mot a donc pour but de mettre un terme final à cette rébellion que vous semblez apprécier de plus belle.

Dites-vous donc, que vous avez eu une petite douceur câline avec "Elle", la seule et unique, qui devrait vous remettre sur le droit chemin. Enfin, je l'espère.... mais de quoi rêvez vous donc? A t-on idée de rêver à une paulette assise sur le bureau de votre compagnon de route, enflée de plaisir et humide à l'idée de vous recevoir en son antre? Peut-on rêver de ce plaisir inouï et exquis qu'elle aurait à vous recevoir en son sein si étroit et n'attendant que vous pour lui donner le plaisir qu'elle réclame?

N'est-ce pas indécent de vous imaginer emprisonné dans cette prison dont les parois sont étroites et mouillées? Maintenant vous parlez d'envoûtement mais vous délirez mon cher. Comment aurait-elle pu vous envoûter cette pauvre et innocente Paulette ? En vous recevant chaque fois avec délice et plaisir et en vous en donnant? Mais cela n'est point arrivé. Ou peut être que la douceur et l'odeur de sa peau vous ont complètement rendu dépendant?! 

J'espère que ce petit "rappel du règlement" vous remettra sur la bonne voie et que vous saurez vous tenir à l'avenir! Sincères salutations!

30 septembre 2008

bonnes résolutions

planche_36

Ecrire peut-il être une drogue ? Non ! Car comme toute substance provoquant une aliénation il faudrait que le sevrage soit difficile et il n'en est rien. En tout les cas pas en ce qui me concerne. C'est fou cette facilité qu'ont les mots à venir un jour en force s'épancher pour bientôt disparaitre à nouveau.
Une drogue non : Mais une thérapie oui, certainement. Il va falloir qu'un jour me décide à écrire pour Camille. Sorte de longue histoire dont j'espère ne jamais connaitre la fin, relatant les mésaventures de notre petite famille, les douleurs, les bonheurs. Toutes ces choses qui font qu'elle est là, présente au milieu de nous, de notre vie. Partie intégrante et tumultueuse entre nous, avec nous. Un projet que je nourris depuis longtemps et que à force de grossir finira bien un jour par voir le jour en vrai.
Et puis, ... Et puis il y a aussi cette lettre commencée qu'il faut que je termine. Ce blog laissé en jachère qui ne demande qu'à être à nouveau commencé. Mais pour le moment je profite de cette source de mots pour tout coucher sur le papier.

pecheur
Esprit enfin sorti de sa torpeur, esprit qui flotte sur une mer de mots et ne se laisse pas de pécher celui qui lui convient. Envies nouvelles d'écrire encore et encore, de chercher enfin l'inspiration de cette histoire dont je détiens les bases et qui ne se laisse pas écrire. C'est étrange, longtemps j'ai cru avoir du talent, au moins une facilité pour mettre les mots les uns derrière les autres. Et puis voici venu ces trous, ces moments de rien ou au lieu d'écrire, je lis, je dévore tout ce qui passe à proximité sans rien qui me satisfasse vraiment.

24 septembre 2008

Il est revenu

Qui donc, ben mon imbécile de frère tiens. En fait cela fait longtemps qu'il est réaparu, très exactement le lendemain de sa disparition. Grand soulagement dans toute la famille comme vous pouvez l'imaginer. Et bien sur la question : que s'est il passé ?
Et bien tout simplement une arnaque par mail. Un courriel de type, bonjour vous avez gagné 20 000 € et afin de pouvoir vous les faire parvenir il nous faut  1500 €. Alors ce con (désolé je ne vois pas d'autres termes) file 1500 et en plus trouve le moyen de dépenser grace à ses putains de prêt obtenu en 5 minutes plus de 3000 €. Jusqu'au moment ou ses neurones ont retrouvé un peu de mobilité et qu'il s'est rendu compte qu'il n'aurait jamais rien. Du coup à cause de cette mauvais blague, il a failli se foutre en l'air. je sais il est con. Croire à ce genre de chose alors qu'il a plus de 34 ans c'est n'importe quoi. Je pensai que de laisser un peu de temps passé avant de l'écrire allait me calmer mais en relisant ce qui précède je me rends bien compte qu'il n'en est rien. Je lui en veux d'être aussi naïf, de ne pas avoir demandé avant de croire à cette histoire. Je lui en veux du mal qu'il fait, a fait à mes parents.
J'ai toujours pensé que mes parents étaient fier de moi. Chez nous pas d'effusion d'affection. De mémoire je ne me souviens pas que ma mère m'ait dit "je t'aime". Dire que j'en souffre non. Parce que ce n'est pas nécessaire de le dire. Par contre cela fait parfois du ien de l'entendre. Allez assez de psycho de comptoir pour aujourd'hui.

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