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31 janvier 2007

le peintre

Depuis le temps que j'en avais envie j'ai fini par le faire. J'ai décidé d'écrire une histoire à partir d'une image. Et bien franchement c'est dificile. Manque d'organisation sans doute. Alors j'espère que vous ma pardonnerez la qualité de cette histoire.

Elle attend patiemment qu’il ait finit de se préparer. Cela fait maintenant au moins deux heures qu’elle est dans cet atelier de peinture. Une amie l’a recommandé et c’est ainsi qu’elle a eu ce petit boulot, histoire d’arrondir ses fins de mois difficile.

Elle n’aurait jamais cru que cela puisse être si long de préparer le chevalet, choisir la toile qui allait bien ... Enfin il daigne la regarder et lui adresser la parole.

« Blandine, vous savez que je ne peins que des nus. Je suis dans une phase quasi obsessionnelle. Vous allez vous déshabiller derrière ce paravent, puis je vous expliquerai ce que j’attends de vous. »

Elle se glisse derrière la mince cloison décorée de petits oiseaux, se met nue puis retourne au centre de la pièce. Dans la fraîcheur de ce studio elle sent ses seins se dressés et sa peau se contracter.

« Vous êtes vraiment très belle Blandine, Amandine avait bien raison. En plus vous avez la coiffure que j’ai demandée. Je suis sur que nous allons bien nous entendre ».

Je vous explique la pose … Vous allez vous asseoir ici, sur ce drap, une jambe de chaque coté … Excellent, en plus vous n’êtes pas rasée, vous êtes décidément parfaite. Je suis sur de faire du bon travail avec un modèle tel que vous. Cambrée vous légèrement … Parfait … Posée les mains comme ça sur les cuisses, oui c’est ça. Vous pensez pouvoir tenir longtemps la position ? » Sans attendre la réponse il file derrière son chevalet, attrape un crayon et commence à dessiner. Tout se passe en silence. Il dessine, efface, dessine encore, grommelle dans sa barbe. Elle le voit qui de temps en temps passe la tête sur le coté pour la regarder. C’est marrant elle avait toujours pensé que pour pouvoir dessiner, le peintre devait garder devant les yeux le modèle.

Elle ferme les yeux et se laisse aller. Elle tente de chercher dans ses souvenirs un peu de chaleur. Les premières images qui lui viennent sont celles de la belle Amandine allongée nue sur le lit qu’elles ont partagé bon nombre de fois. Elle sent encore sa tendre poitrine appuyer sur son dos, les mamelons légèrement durs. A ses souvenirs la chaleur commence à venir, se déployant langoureusement entre ses jambes avant de monter le long de son ventre. Elle repousse cette pensée mais le mal est fait. Le désir est là, qui n’attend qu’un geste pour exploser plus en elle.

Elle entend quelque chose au loin … très loin…

« MademoiselleMademoiselle …. MADEMOISELLE ! »

Elle sursaute surprise de ce trouvé ici. Puis tout lui revient.

« Il faut que vous teniez la position Mademoiselle Blandine, je ne peux pas travailler dans ces conditions ».

Elle se reprend, se redresse. Elle sent entre ses cuisses l’humidité la gagner. Non elle ne veut pas. Pas ici, pas devant cet inconnu. Et pourtant son esprit est envahit par ces images, son nez assaillit pas l’odeur de ce sexe doucement parfumé. Sous ses doigts sa peau se réchauffe et ses cuisses s’écartent davantage.

Le peintre continue à travailler, esquissant ce qui lui servira de canevas pour pouvoir ensuite peindre. Elle tente d’interrompre ses pensées, de les dériver vers des eaux moins troubles. Là, voilà c’est mieux, le petit bois derrière l’atelier de couture. Les arbres, les petits oiseaux, la petite chatte … non non, pas la petite chatte d’Amandine, non pas celle la même que sa propriétaire tient écartée de deux doigts pour que le jet d’urine ne coule pas le long de ses cuisses, non pas celle la même que Blandine voit d’en dessous pour recueillir dans sa bouche le chaud liquide. Chaleur … Comme celle qui la gagne de plus en plus, qui lui fait se cambrer un peu plus, qui lui gonfle les seins.

« MADEMOISELLE … Je crois que nous allons nous arrêter la pour aujourd’hui. Manifestement vous n’êtes pas à ce que je vous ai demandé. Ce n’est pourtant pas si difficile de garder cette position ! Allez, rhabiller vous et revenez demain. Même heure et je compte sur vous. »

Le lendemain même heure elle se présente chez le peintre. Comme la veille il l’accueille avec à peine un bonjour. Immédiatement il lui demande de se préparer, de passer derrière ce paravent pour se déshabiller et de reprendre la pause.

« Aujourd’hui je vais attaquer la coloration, alors je vous demande de vous concentrer. »

Elle prend place, attentive à son corps, à sa position dans l’espace. La première heure passe. Il mélange ses peintures, étale, racle, souffle et maugréé. Quelque chose ne va pas, elle le sent. L’air s’épaissit au fur et à mesure que le temps passe. Les mouvements du peintre sont de plus en plus saccadés, de plus en plus brutaux.

Alors qu’elle se glisse doucement dans ses rêveries il la regarde fixement et ce regard la dérange. Elle ne sait pas pourquoi mais d’un seul coup elle voudrait être ailleurs, partir, passée cette porte et ne pas revenir.

« Mademoiselle Blandine, vous êtes vraiment très belle mais votre peau, votre peau qui semble si douce est trop blanche. Avez vous froid ?

- Euh …. Oui un peu, mais ça va.

- Vous êtes sur, vous ne voulez pas une tisane, ou bien un alcool pour vous réchauffer ?

- Dans ce cas, je prendrai bien un petit verre de quelque chose.

- parfait, faisons une pause, je vais chercher de quoi vous réchauffer pour faire trouver à votre corps une couleur plus conforme à ce que je cherche. Ne bougez pas. »

Elle l’entend qui farfouille dans un petit placard et il ne tarde pas à revenir avec une petite bouteille et deux verres. Il verse une large rasade d’un liquide ambré dans les verres et lève le sien pour porter un toast.

« A votre beauté et à votre douceur, tchin » D’un mouvement rapide il vide son verre et la regarde en souriant. Elle se sent obligé de faire de même. Dés que le liquide envahit sa bouche, elle sait qu’elle n’aurait pas du. Elle qui n’a jamais rien bu de plus fort que du cidre elle sent sa bouche prendre feu et cette boule descendre le long de sa gorge pour terminer sa course dans son estomac. Elle tousse, suffoque sous la brûlure. Ses yeux se remplissent de larmes qui se mettent à couler le long de son doux visage. Le monde se met à bouger sous ses pieds, d’un seul coup la voici sur un bateau et le mal de mer l’envahit. Elle sent sur ses épaules des mains douces et chaudes se posées, l’obliger à se lever puis elle se retrouve en position allongée. Le monde devrait arrêter de tourner, c’est insupportable.

De loin, très loin lui parvient sa voix.

« Vous êtes très belle, très désirable. Si je me laissai aller je vous ferai l’amour tout de suite, sauvagement mais ce serait abusé de la situation. Reposer vous, rester ici. »

Elle sent une couverture sur elle. Elle voudrait s’abandonner, se laisser aller mais elle ne peut pas. Tout bouge trop. Son estomac bouge, mais pas au même rythme que le reste de son corps. Finalement elle finit par s’endormir. A son réveil sa tête est lourde, douloureuse. Tout est silencieux, sombre. Par la fenêtre elle ne distingue que les ombres de la ville que recouvre le noir manteau de la nuit.

Elle est toujours nue sous la couverture et manifestement … il n’a rien fait. Doucement elle se redresse et le monde se remet à bouger. Elle ferme les yeux, attend quelques minutes, les rouvres. Ouf tout est normal. Elle se lève. Personne dans l’atelier. Elle appelle d’une voix timide, personne. Elle se rhabille comme dans un rêve, les gestes lents et lourds puis elle sort.

 

Ne sachant si il l’attend, c’est le cœur battant qu’elle se présente à la porte de l’atelier toujours à la même heure.

« Ah Mademoiselle Blandine, j’espère que vous allez mieux. Déshabiller vous et prenez la pause, nous avons beaucoup de travail aujourd’hui. »

Aussitôt elle se déshabille et comme les fois précédentes prend place sur le drap. Il corrige quelques détails, la position des mains, des pieds, l’ouverture des cuisses et se met au travail.

Pour une fois tout en travaillant, tout en préparant ses peintures il se met à parler.

« Êtes vous très intimes avec Mademoiselle Amandine ?

-Euh … Oui.

- Et vous vous connaissez depuis longtemps ?

- Et bien nous avons été à l’école communales ensemble.

- Ah … Et c’est là que vous avez commencé à vous gamahucher ? »

Elle sursaute en entendant ces paroles.

«  Mais euh … N… Non non, nous ne nous sommes ….

- Allons allons, Mademoiselle Amandine m’a beaucoup parlé de vous. Vous ne pensiez tout de même pas qu’elle allait passer ces évènements sous silence. Allons ne rougissez pas, enfin si, laissez vous rougir, cette couleur vous va si bien.

- Il est vrai que nous avons parfois eu des rapprochements physiques …

- Ecoutez, Mademoiselle Amandine m’a tout raconté. Je dis bien tout. Alors ne parlez pas simplement de rapprochement physique.

- …

- Vous êtes très belle, c’est dommage que votre peau soit aussi blanche, sinon vous seriez parfaite. Mais parlez moi un peu de ce que vous avez fait il y a un mois environ.

- Comment ? ça aussi elle vous l’a raconté ?

- Oui en fait je suis beaucoup plus proche de Mademoiselle Amandine que celle-ci ne semble vous l’avoir laissé entendre. Allons parler moi de ce moment.

- Et bien … Comment vous dire … Amandine et moi avons une relation un peu particulière. Je ne peux rien lui refuser … Et quand il me prend l’envie de le faire elle me … Elle me punit. » A ces souvenirs elle sent immédiatement cette incroyable chaleur prendre possession de son bas ventre.

- Pouvez vous m’en dire un peu plus ?

Elle hésite un instant mais il est toujours au loin, derrière la toile qu’il peint comme si il ne s’intéressait pas à la conversation.

- En fait depuis toujours elle a un ascendant sur moi. Déjà toute petite je faisais tout ce qu’elle demandait, je lui tenais sa jupe quand elle faisait pipi, puis plus tard je la nettoyai avec la langue. »

Tout en parlant elle se sent rougir encore et cette moiteur entre ses cuisses qui ne cesse de grandir. Elle ne veut pas lui dire, pas lui en parler.

« Et ?

- Et … Que voulez vous ? C’est tellement intime ce que vous me demandez.

- Je veux que vous me racontiez ce que vous faisiez dans les bois, ce qu’elle vous a demandé de faire et quelles en ont été les conséquences.

- …

- Allons Mademoiselle Blandine, nous savons tous les deux que vous affectionner particulièrement ces petits jeux. Et si jamais vous refusez de me confier vos petits secrets, je me verrai dans l’obligation de vous punir à mon tour.

- Je ne sais Monsieur si votre position vous permets …

-Il suffit ! Lever vous ! Je peux voir d’ou je suis que vos mots provoquent en vous de bien doux émois. Laisser moi vous fesser comme vous le mériter, Mademoiselle la pudibonde »

Il semble à Blandine qu’il a suffi d’un saut au peintre pour se trouver à ses cotés, et d’un seul mouvement pour la faire mettre debout.

Aussitôt elle sent la claque s’abattre sur ses tendres chairs, frappant sèchement dans le silence de l’atelier. Elle tente de cacher son postérieur avec les mains mais d’une voix sèche le peintre lui intime l’ordre de ne pas bouger. La main continue de monter et de descendre, rencontrant en fin de course la peau qui commence à prendre une jolie couleur. Elle gémit doucement, hoquette à chaque fois que tombe le coup.

« Mais dites moi ma chère, il semble que cela vous convienne si j’en crois l’humidité qui croit entre vos cuisses. Mais reprenez place, nous avons du travail qui nous attend » et comme si de rien n’était il retourne derrière sa toile.

Blandine n’en peut plus. Ces quelques claques sur ses fesses lui ont échauffée les sens. Elle se sent en ébullition. Elle en voudrait tellement plus. Ah pourquoi Amandine n’est-elle pas là. Elle saurait comment lui donner ce plaisir que son corps réclame. Mais elle est là, sur ce drap qui la caresse indécemment, devant ce peintre qui doit avoir une vue imprenable sur son intimité.

« Mademoiselle Blandine, votre peau est trop blanche, votre teint trop laiteux. Je dois remédier à cela. Lever-vous et aller jusqu’à la table. Très bien, posé les mains sur le bord … Oui comme cela … Creuser un peu les reins. Décidément vous êtes vraiment adorable. »

Elle entend le peintre s’éloigner, farfouiller quelque part dans l’atelier et revenir auprès d’elle. Elle sait ce qu’il l’attend. Elle sait qu’il va la fouetter et à cette pensée ses idées se tournent vers sa Douce Amandine. Ah la garce … Lui avoir fait ça, l’avoir piégé de cette façon. Elle sait déjà qu’elle va aimer, qu’elle va adorer la morsure du cuir sur sa peau. Et elle lui en veut pour cela. Elle lui en veut de lui avoir fait découvrir cette face de soi qu’elle aime tant.

Elle sent déjà son intimité déjà largement échauffé s’ouvrir encore.

« Savez vous pourquoi je vais vous fouetter, tendre Blandine ? Parce que vous êtes belles, parce que vous êtes diaphane et je ne peux pas supporter de ne pas réussir à vous mettre sur ma toile. J’aimerai pouvoir vous voler votre image, la prendre et la garder. Vous emprisonner dans mon tableau, que vous ne puissiez plus sortir d’ici. Alors cette beauté, je vais la rougir, l’abîmer temporairement comme cela je sais que quand vous sortirez vous serez encore en quelque sorte ici. Je suis sur que vous me comprenez. Vous êtes prête ? »

 

Le premier coup tombe, dur, ferme sur les fesses. Avec une régularité de métronome les autres suivent, de plus en plus haut, les fesses d’abord, puis les reins, le dos. Elle sent sa peau chauffer, se couvrir de striures. Elle supporte stoïquement les premiers coups, sentant juste la lanière frottée sur sa peau. Puis au fur et à mesure que sa peau s’échauffe, se tend, se fissure, ce mélange de plaisir et de douleur qui lui fait tant peur prend possession de son être. Elle se tord sous les coups, se tord sous le plaisir qui gonfle en elle. Plus d’une fois elle crie, gémit. Mais rien n’y fait. Il continue, abaissant son bras. Puis d’un seul coup il s’arrête. Elle se retient de ne pas se laisser glisser sur le sol. Puis elle sent sur ses épaules de chaudes mains qui se posent, les caressent, descendent le long des bras pour remonter sur le ventre et plus haut encore sur les seins.

lepeintre

(Dessin extrait du site dessinées)

 

« Décidément, vous êtes surprenante Blandine. Encore plus rayonnante malgré la douleur. Tourné vous que je vous voie mieux … Regardez moi. »

Elle se tourne vers lui, les yeux baissés. Il reste la simplement à la regarder. Puis doucement il pose sa main sur son sexe et commence à la caresser. Imperceptiblement elle se laisse aller contre lui, pose la tête sur son épaule alors que des doigts s’insinuent en elle. Blandine se fait de plus en plus lourde contre ce corps, appuie ses seins contre le tissu pour en sentir la rudesse, les frotte pour en exciter les pointes. Et ces doigts qui la fouillent toujours plus profond. A nouveau elle gémit, écartant plus largement les cuisses pour qu’il puisse mieux la pénétrer. Puis il s’arrête, effleure délicatement ses lèvres et la ramène à sa place.

« Pensez vous pouvoir reprendre la pause, douce Blandine ?

- Oui … Je crois que oui.

- Bien, maintenant que vous avez la couleur que je désire, je vais pouvoir vous emprisonner sur ma toile. »

Elle ne sait plus ce qu’elle fait là, elle voudrait tellement jouir. Alors doucement elle se frotte sur le drap entre ses cuisses. Elle sent son sexe ouvert luire de cyprine. Elle aurait aimé que la main du peintre continue sa caresse intérieure, elle aurait aimé qu’il l’embrasse pleinement.

Et puis Amandine. Ah Amandine, que n’est elle pas présente pour apaiser de ses caresses les milles tourments que connaît Blandine ? Elle qui sait si bien se servir de ses doigt, de sa bouche, de ses olisbos qu’elle garde précieusement enfermé dans son tiroir sous ses jupons.

« Amandine, mon Amandine … Ecoute la prière que je t’adresse. Vois ce corps marqué dans sa chair, je te l’offrirai ce soir, cette nuit. Que la lune soit le témoin de mon Amour pour toi. »

Le peintre la regarde fixement, cherchant certainement à lire en elle. Elle ne le remarque pas, tout à ses supplications.

« Je veux Amour sous ton souffle atteindre les étoiles, je veux qu’elles soient jalouses de la lumière que tu vas allumer dans mes yeux par tes caresses ».
Le peintre s’est approché d’elle et fixement la regarde. Il tend une main timide et lui frôle l’épaule. Dans un sursaut elle revient à la réalité.

« Mademoiselle Blandine, partez, je vous en prie. Je ne peux pas vous peindre, je ne peux pas vous prendre. Vous appartenez à une autre. E vous laisse votre liberté de corps mais soyez prudente, ne la gâcher point entre des bras inconstants. »

Troublée elle se lève. Son dos, ses fesses lui font mal. Le peintre voyant cela l’aide délicatement à mettre son jupon, se chemise puis sa robe.

« Bonne chance Mademoiselle Blandine. Tenez voici vos gages. » Puis doucement il referme la porte sur sa propre solitude.

Une fois qu’elle est partie il s’écroule contre la porte en pleurant. Les larmes roulent, traçant des fleuves sur ses joues qui cascadent en lourdes gouttes sur ses mains.
Il lui faut un temps infini pour se mettre debout, et de longues minutes encore pour aller devant cette toile. Il regarde longuement le carré de tissu blanc, vierge de toute trace. Presque religieusement il la prend et la dépose au sol. 

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Commentaires
M
Merci de votre passage chez moi en espérant que vous y avez trouvé, y trouverez vous sera agréable. <br /> Pour ce qui est de la suite, elle n'est pas prévu pour le moment.
L
on attend la suite impatiemment...<br /> merci pour ton commentaire chez Autoportraits.canablog. Si Zoroastro veut bien, il publiera encore des photos un peu plus devoilées bientôt..et le récit de l'effet que me fait les prendre...<br /> Lilith
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